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Flo B. mémé on ze blog
30 septembre 2016

Calendrier à imprimer et à colorier : octobre 2016

 

 

octobre

 

Autumnus

 

S’il y en a un actuellement qui est aussi discret qu’une culotte sous la micro-robe d’une prétendante de la téléréalité, c’est bien l’automne.

Il se murmure du bout des lèvres comme un chuchotement dans les "Walkyries" de Wagner ou comme un souffle de culture dans le néant abyssale des aptitudes intellectuelles des gastropodes de la téléréalité.

Bigre ! Le ménage d’automne s’annonce fastidieux.

Ils ont beau s’aérer par le bas, la tirelire à découvert pour les unes et la petite trompette à l’air pour certains, leurs cerveaux ont du mal à être irrigués.

 

Une seule solution s’envisage à la nouvelle génération de téléspectateurs, (et aussi aux moins jeunes hélas), oublier tous ces bouquins.

Bouquins : vieux boucs, lièvres, lapins mâles ou génération gériatrique de la téléréalité. Ils semblent tellement rôdés aux codes de celle-ci pour atteindre une éphémère et pathétique notoriété qu’ils en sont dénués de toute spontanéité, formatés sur le même moule donc interchangeables à l’envi.

 

Ouvrir donc des bouquins.

Les livres, pas les dits bigorneaux précédemment cités. L’étude anthropomorphique de ces spécimens est inutile et salissante.

Mais se plonger dans les entrailles d’un livre ou d’une BD et y découvrir la mélodie des mots et la puissance de l'imaginaire. Force est de constater que la langue française est bien farceuse lorsque l’on s’attarde sur l’étymologie de deux mots identiques : bouquin et bouquin.

 

Il y a ceux qui emploient avec perfidie la langue  de vipère et ceux qui manient avec respect la langue de Molière.

Toutefois dans les deux camps, il y a souvent des langues bien pendues.

 

 

octobre-blog

 

Free printable here. Pour imprimer, c'est ici : calendrier octobre

 

 

Trick or treat

Un mauvais sort ou un bonbon.

 

Pense-bête : ne pas oublier de préparer le saladier de bonbons pour Halloween.

 

Et même si aucun petit montre déguisé en nain de jardin, à moins que ce ne soit l’inverse, ne vienne sonner à ma porte, je ferai preuve d’une abnégation sans faille et d’un courage sans partage pour boulotter tous les bonbecs au risque de faire exploser ma glycémie et de sacrifier mon pancréas !

 

Mais je respecterai scrupuleusement les consignes du ministère de la santé, je ne mangerai que les bonbons à la cerise, à la framboise, à la fraise…

 

Bon Halloween ou pas…

 

Artistiquement votre.

 

 

sépare-page-blanc-2

 

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