Calendrier à imprimer et à colorier : juillet 2016

Devinette :

Ouais, ouais, ouais.

Je tiens mes fiches bras tendus devant moi.

Mains sur le buzzer.

-Il représente la période la plus prisée des enfants. On l’appelle la période estivale, dite période de récupération des maîtres et des maîtresses (toujours en lien avec la nainosphère turbulente, houlala pas de graveleux).

-Je passe.

-Quand aux parents et aux grands-parents, ils entrent dans une phase d’agitation nerveuse. La même que celle pendant l’école mais en plus démesurée puisque leur descendance méphistophélique  est en pleine forme. Elle n’a plus de devoirs, elle s’est administrée sa dose non raisonnée de glucide rapide en un temps record (merci aux dealers papy et mamie pour les bonbons).

Je suis…

-Je passe.

-C’est le temps des barbecues, des apéros en plein air, des régimes, des maillots de bain en apnée (rentrer le ventre ou arrêter de respirer, il faut choisir).

C’est aussi la période la plus dangereuse pour les blonds et les roux (je ne parle pas des hooligans anglais).

Dans certaines régions de France, surtout à l’Ouest, son mythe alimente les histoires contées depuis la nuit des temps, transmises de génération en génération. Sa légende  est aussi répandue et populaire que le yéti : tout le monde en parle mais personne ne l’a aperçu !

-Je passe.

-Je suis la période télévisuelle où l’on voit de nombreuses  pelouses malmenées par des crampons courants de-ci, delà, Deschamps.

Je suis...

-L’été !

-Ouais, ouais, ouais,  c’est l’été.

Voilà l’été, j’aperçois le soleil.

Les nuages filent et le ciel s’éclaircit.

Et dans ma tête qui bourdonnent, les abeilles !

J’entends rugir les plaisirs de la vie.

                                         « Les Négresse vertes »

                                            Pour imprimer, c'est ici : calendrier juillet cmjn

Devinette : combien de tentacules possède la pieuvre ?

Hou ! Tu veux voir du corps huilé et bronzé s’exposant aux rayons du soleil (pas à l’ouest), descends donc vers l’hémisphère sud.

Encore,

Tu approches du fruit défendu, de la peau de bête offrant sa frêle nudité au velouté des embruns.

Oups, pardon monsieur. Joli maillot !

Artistiquement votre.